Cette étude de cas a été réalisée par le Dr Jean-Pascal Hottat et le Pr Thierry Ménoret (CHU de Grenoble, Service de Pharmacie Clinique, Service de Pharmacologie Médicale, Service de Santé au Travail, Service de Médecine de Prévention).
Introduction
Les auteurs ont voulu mettre en évidence les difficultés à obtenir des informations précises sur le niveau de risque de TEV chez les patients sous antiandrogènes et corticoïdes oraux, notamment en cas de traitement associé à un autre médicament de la même classe. Pour cela ils ont analysé la littérature depuis 1985, les rapports des différents spécialistes et les avis d’experts.
Méthode
Avant tout, l’étude a été menée dans une unité de médecine du travail. Une liste des antiandrogènes prescrits en France est disponible dans le dossier « médicaments prescrits aux patients sous androgènes ». Il s’agit de la liste des médicaments en fonction de la molécule et des indications, et du nombre de comprimés délivrés.
Une deuxième liste est également disponible, celle des médicaments prescrits dans le cadre d’un traitement de la maladie de Crohn. Cette liste comporte uniquement des médicaments dont le traitement est prescrit dans le cadre d’un traitement médical conventionnel. Elle est donc plus précise que la liste des antiandrogènes prescrits en France et indique les indications et la posologie en fonction de la molécule. En effet, la liste des antiandrogènes prescrits en France ne tient pas compte des traitements utilisés en complément des antiandrogènes pour une utilisation dans le cadre d’une activité physique. Les antiandrogènes prescrits en France dans cette situation sont uniquement les bêta-bloquants.
Les auteurs ont comparé le nombre de cas de TEV, de cancer de la prostate et de cancer du sein chez les hommes traités par antiandrogènes à ceux traités par corticoïdes oraux, et ont étudié les éventuelles conséquences de ces traitements en cas de polyarthrite rhumatoïde ou de sclérose en plaques. En effet, les patients sous antiandrogènes et corticoïdes oraux sont traités pour des pathologies différentes. Dans le cadre d’une polyarthrite rhumatoïde, on parle de polyarthrite en phase active ou de PR, lorsque le traitement par antiandrogène est débuté. Dans le cadre d’une sclérose en plaques, on parle de SP. Les traitements sont donc différents. Dans le cas de la sclérose en plaques, il existe un traitement de fond, il s’agit de la clonazépam, et un traitement par voie injectable, le méthotrexate ou le méthyldopa par voie intraveineuse. Dans le cas d’une polyarthrite rhumatoïde, il n’existe pas de traitement de fond, c’est la corticothérapie orale.
Le nombre de TEV a été comparé avec celui des patients prenant des antiandrogènes et des corticoïdes oraux. Les taux d’incidence ont été comparés selon que les patients soient sous antiandrogènes ou sous corticoïdes oraux et selon le type de pathologies traitées. Les taux d’incidence sont ensuite comparés aux taux d’incidence dans la population générale. Les taux d’incidence ont été comparés aux taux d’incidence dans la population générale et sont ensuite comparés au taux d’incidence rapporté dans la littérature. Les différences d’incidence sont significatives dans les pathologies inflammatoires ou vasculaires et dans les pathologies cancéreuses. Le nombre de TEV est significatif dans les pathologies inflammatoires et vasculaires et dans les pathologies cancéreuses, dans le cancer de la prostate et dans les cancers du sein. L’incidence est significativement plus élevée chez les hommes avec une pathologie inflammatoire et une pathologie cancéreuse.
Les auteurs ont également analysé les conséquences des traitements antiandrogènes et corticoïdes oraux en cas de polyarthrite rhumatoïde, de sclérose en plaques ou de cancer du sein, selon la pathologie traitée. Le nombre de TEV est significatif chez les patients avec une pathologie inflammatoire et une pathologie cancéreuse, avec une incidence plus importante chez les patients avec une pathologie inflammatoire ou une pathologie cancéreuse.
Résultats
Maladie inflammatoire
Affection inflammatoire
Les données issues de la littérature montrent que les antiandrogènes sont associés à une augmentation du nombre de TEV dans les maladies inflammatoires et que cette augmentation est significative chez les patients avec une pathologie inflammatoire. Le nombre de TEV est significativement plus élevé chez les patients avec une pathologie inflammatoire que chez les patients avec une pathologie cancéreuse.
Le nombre de TEV est significativement plus élevé chez les patients avec une pathologie inflammatoire ou une pathologie cancéreuse que chez les patients avec une pathologie inflammatoire ou une pathologie cancéreuse. La plupart des études rapportent que les traitements antiandrogènes sont associés à une augmentation du nombre de TEV, même dans les cas de maladie inflammatoire. Aucune étude ne rapporte d’augmentation du nombre de TEV chez les patients avec une maladie inflammatoire. Les auteurs pensent donc que les traitements antiandrogènes augmentent le risque de TEV chez les patients avec une pathologie inflammatoire. La majorité des études rapportent une augmentation du nombre de TEV chez les patients avec une pathologie inflammatoire. L’augmentation du nombre de TEV est statistiquement significative chez les patients avec une pathologie inflammatoire et une pathologie cancéreuse.
L’incidence des TEV est plus élevée chez les hommes avec une pathologie inflammatoire et une pathologie cancéreuse. En cas de sclérose en plaques, le nombre de TEV est significativement plus élevé chez les hommes avec une pathologie inflammatoire et une pathologie cancéreuse. L’augmentation du nombre de TEV est statistiquement significative chez les hommes avec une pathologie inflammatoire et une pathologie cancéreuse. L’incidence des TEV est significativement plus élevée chez les hommes avec une pathologie inflammatoire et une pathologie cancéreuse. La plupart des études rapportent que les traitements antiandrogènes augmentent le risque de TEV chez les hommes avec une pathologie inflammatoire. Les auteurs pensent donc que les traitements antiandrogènes augmentent le risque de TEV chez les hommes avec une pathologie inflammatoire.